Siège de l'ANSEJ à Bouira (Photo A. C SIWEL)
Les riverains du quartier jouxtant le siège de l'ANSEJ dans la ville de Bouira qui ne pouvaient accéder à leurs appartements ont protesté de la situation qui perdure depuis plusieurs jours.
Une jeune fille voulant se rendre à son domicile a été malmenée par certains jeunes faisant la queue devant cette institution. Une institution située au premier étage d’un bâtiment et qui entrave sérieusement les allées et venues des propriétaires des autres logements.
Suite à ces réclamations effectuées par les riverains, la police a effectué une intervention ce mardi matin sur les lieux. Les centaines de jeunes qui espéraient atteindre les locaux de l’ANSEJ ont eu à faire face aux policiers, matraques à la main, qui ont tenté de mettre de l’ordre. Selon des témoignages recueillis sur place, dès 5 h 30 du matin, impossible de se frayer un chemin.
« C’est une situation inadmissible pour nous autres postulants qui sommes présents à l’aube devant le siège de l’ANSEJ et à chaque fois nous repartons bredouilles. » Un jeune qui sortait des locaux avoua qu'il s'agit de son 15e déplacement à Bouira : « je dois revenir la semaine prochaine pour renouveler mon dossier, car certaines pièces sont manquantes. »
La semaine dernière déjà, un jeune postulant avait été victime d’un malaise lors des bousculades monstres devant cette agence, et les policiers avaient été une fois encore appelés à la rescousse.
ac
SIWEL 081450 MAR 11
Une jeune fille voulant se rendre à son domicile a été malmenée par certains jeunes faisant la queue devant cette institution. Une institution située au premier étage d’un bâtiment et qui entrave sérieusement les allées et venues des propriétaires des autres logements.
Suite à ces réclamations effectuées par les riverains, la police a effectué une intervention ce mardi matin sur les lieux. Les centaines de jeunes qui espéraient atteindre les locaux de l’ANSEJ ont eu à faire face aux policiers, matraques à la main, qui ont tenté de mettre de l’ordre. Selon des témoignages recueillis sur place, dès 5 h 30 du matin, impossible de se frayer un chemin.
« C’est une situation inadmissible pour nous autres postulants qui sommes présents à l’aube devant le siège de l’ANSEJ et à chaque fois nous repartons bredouilles. » Un jeune qui sortait des locaux avoua qu'il s'agit de son 15e déplacement à Bouira : « je dois revenir la semaine prochaine pour renouveler mon dossier, car certaines pièces sont manquantes. »
La semaine dernière déjà, un jeune postulant avait été victime d’un malaise lors des bousculades monstres devant cette agence, et les policiers avaient été une fois encore appelés à la rescousse.
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